Histoire de sexe : Rencontre avec une vraie cochonne

Mon histoire pornos se tient tout juste à l’aube de mon mariage avec une jolie coquine parfaite pour me faire oublier, non sans un pincement au cœur, ma vie de garçon.

Il y a un peu plus d’une année, s’approchait de plus en plus la date de mon mariage. Quelques jours avant, ma mère heureuse de préparer l’évènement me présentait à une jeune fille qu’elle venait d’embaucher dans sa boite. La gonzesse était un vrai canon c’est le cas de le dire, je la trouvais un peu jeune mais nul doute qu’elle était vraiment bandante. Je la reluquais du coin de l’œil et je ne pouvais qu’admirer ses formes sensuelles. Ses seins, ses fesses, sa bouche pulpeuse, Anika était parfaite et me donnait envie de la prendre brutalement à chaque fois que je la regardais, mais il me fallait me retenir, j’allais devenir l’époux d’une magnifique femme dans quelques temps. A force de me retenir j’allais finir par craquer, il était tant que je sauve mon mariage en fourrant ma bite dans la chatte de cette nana.

Mon récit de cul avec une jeune salope

Je m’arrangeais à l’attirer dans un endroit isolé sans éveiller les soupçons. Elle parut surprise au début, mais je pense que cela ne dura pas longtemps, car elle remarqua le feu du désir qui brulait en moi. Cette petite salope me chauffait, on dirait qu’elle lisait dans mes pensées. Elle ne se laissa pas entrainer tout de suite, elle se fit désirer et cela ne faisait qu’accroitre mon envie. Plus elle résistait et plus j’avais envie de la baiser, c’était parfait j’aurai détesté que ce fut trop facile. Autant d’expérience a son jeune âge me surprenait, car oui Sonia n’avait que 19 ans mais quelle allumeuse. Son petit sourire en coin me faisait penser qu’elle avait tout anticipé. Je refuse de l’admettre car si c’est le cas, cette fille est une diablesse en personne, mais peu importe j’ai tellement envie de la baiser que j’accepterai qu’elle me défonce le cul avec un gode si c’était la condition.

Mon récit vire au X : Une jouissance inattendue

Je posais mes lèvres sur les siennes, tellement douces tellement pulpeuses que je ressentis une érection à en faire craquer ma braguette. Mon désir se fit de plus en plus pressant, elle le ressenti et baissa mes vêtements pour me donner une fellation qui faillit me faire chavirer, c’était tellement bon que je ne voulais pas que ça s’arrête. Cette petite cochonne venait de me monter l’entrée du paradis. Il était temps de m’introduire dans sa chatte, qui accueillait ma queue avec une tendresse qui m’était inconnu. Difficile de le décrire avec des mots, mais lors de ma jouissance j’allais au-delà de l’orgasme. Le lendemain, je me mariais elle se tenait près de ma mère et en la regardant une violente envie de la baiser revint mais heureusement mon amour pour ma femme fut plus fort.